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MA MAISON SUR LA CÔTE D'AZUR
22 avril 2023

TRILOGIE D'AZUR

 

LE_MIE_CASE_IN_COSTA_AZZURRA_COUV_1

  Pour lire Le mie case in Costa Azzurra... e altrove, cliquez ICI

 

Après Ma maison sur la Côte d'Azur et Vert Blanc Rouge d'Azur, mon dernier livre Le mie case in Costa Azzurra... e altrove ("Mes maisons sur la Côte d'Azur... et ailleurs") vient compléter ce que l'on pourrait appeler ma "trilogie d'Azur". Pour le lire librement et gratuitement il suffira de cliquer au-dessous de sa couverture ou de le retrouver dans l'accueil du blog, où ce « racconto sincero e quasi vero » ("récit sincère et quasi vrai") côtoie mes deux premiers romans.

Les lecteurs italophones ne devraient pas être dérangés par cette dernière publication dans ma langue maternelle qui, je l'espère, ne déplaira pas trop aux Français monolingues. Tout en souhaitant un prompt apprentissage de l'idiome du Beau Pays à ces derniers, je me permets de leur fournir quelques explications sur ce nouveau texte.

S'il s'agit d'un « récit sincère » c'est parce que, cette fois-ci, le narrateur est bien votre auteur... prêt à partager ses expériences habitatives ; et, quant au « quasi vrai » complétant la catégorisation de cet écrit, il découle tout simplement du pseudonymat qui, depuis mes débuts littéraires, couvre ma vie privée d'un irrénonçable "voile sur le vrai". Ce qui n'exclue pas le dévoilement de certaines "données" ne concernant pas que les maisons que j'ai habitées et qui, d'ailleurs, ne se trouvent pas seulement sur la Côte d'Azur mais aussi en Italie et dans une autre France. Il y a donc là un vécu binational qui risque d'éveiller l'intérêt des lecteurs moins enclins aux stéréotypes géo-sociaux qu'aux hybridations culturelles...

Ces derniers pourront en effet se laisser surprendre par des descriptions assez inattendues concernant par exemple, côté France, les "pépins" de certaines habitations azuréennes mais... tout à fait normales, les curieux inconforts d'immeubles prestigieux dont les occupants ne sont pas que des nantis, ou les déplaisantes formalités administratives propeudétiques à une vie outre-frontière : le tout observé d'un œil aussi critique que bienveillant, et saupoudré de plusieurs pincées de civilisation hexagonale.

Quant au "côté italien" de votre auteur-narrateur, il sera difficile de considérer ce dernier comme un privilégié azuréen après avoir pris connaissance de quelques détails de ses années palermitaines et lombardes, toujours à la recherche d'un meilleur destin humain et professionnel et, au fond, d'une synthèse entre deux cultures.

À vous de juger si cet objectif a été atteint, après lecture de ce dernier livre dans la langue de Dante et, pourquoi pas, après un coup d'œil aux billets divers et variés qui - dans la langue de Molière - animent ce blog depuis désormais plus de dix ans.

Que l'on soit auteur ou lecteur, comment ne pas essayer de renforcer, en ces temps de Je t'aime moi non plus entre la France et l'Italie, l'irréductible fraternité qui unit ces deux pays si semblables bien que si différents ? 

(Ci-dessous - une fois n'est pas coutume - la traduction italienne de ce texte)

 

TRILOGIA AZZURRA

 

Dopo Ma maison sur la Côte d'Azur e Vert Blanc Rouge d'Azur, il mio nuovo libro Le mie case in Costa Azzurra... e altrove viene a completare quella che potrebbe definirsi la mia "trilogia azzurra". Per leggerlo liberamente e gratuitamente basterà cliccare sotto la sua copertina o cercarlo nella home page del blog, dove questo «racconto sincero e quasi vero» si aggiunge ai miei due primi romanzi.

I lettori italofoni non dovrebbero essere disturbati da quest'ultima pubblicazione nella mia lingua materna che, lo spero, non dispiacerà ai Francesi monolingui. Augurando a questi ultimi un rapido apprendimento dell'idioma del Bel Paese, mi permetto di fornire loro qualche spiegazione su questo nuovo testo.

Se si tratta di un racconto «sincero» è perché, questa volta, il narratore è proprio il vostro autore... pronto a condividere le proprie esperienze abitative; e, per quel che riguarda il «quasi vero» che completa la categorizzazione di questo scritto, la motivazione è da ricercare nello pseudonimato che, fin dai miei inizi letterari, ricopre la mia vita privata con un irrinunciabile "velo sul vero". Il che non esclude la rivelazione di certi "dati" non riguardanti soltanto le case in cui ho abitato: le quali, fra l'altro, non si trovano soltanto in Costa Azzurra ma anche in Italia e in un'altra Francia. Ne risulta un vissuto binazionale che potrà forse destare l'interesse dei lettori più sensibili alle ibridazioni culturali che agli stereotipi geo-sociali...

Questi ultimi potranno effettivamente lasciarsi sorprendere da alcune descrizioni non proprio scontate: riguardanti ad esempio, per quanto riguarda la Francia, le diverse "magagne" di alcune abitazioni azuréennes ma... assolutamente normali, le strane scomodità di palazzi prestigiosi non abitati soltanto da nababbi, le seccanti formalità burocratiche propedeutiche ad una vita d'Oltralpe: il tutto osservato con occhio critico ma non malevolo, e cosparso di numerose manciate di civilisation française.

Quanto al "lato italiano" del vostro autore-narratore, difficile giudicare quest'ultimo un privilegiato in Costa Azzurra dopo aver appreso i suoi trascorsi palermitani e poi lombardi, sempre alla ricerca di un miglior futuro umano e professionale e, in fondo, di una sintesi fra due culture.

Che tale obiettivo sia stato raggiunto sta al lettore stabilirlo, dopo aver letto quest'ultimo libro nella lingua di Dante e, perché no, aver dato un'occhiata ai vari billets che - nella lingua di Molière - animano questo blog da ormai oltre dieci anni.

Da autore o da lettore, come non cercare di rafforzare, in tempi di frequenti Je t'aime moi non plus fra Italia e Francia, l'irriducibile fraternité che unisce questi due paesi così uguali pur se così diversi?

 

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